esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
On
s'en doutait, mais ça fait plaisir à lire:
Dans Le Monde Economie
du 11 janvier 2011
Chronique
de la semaine
WikiLeaks dévoile aussi comment fut gérée
la crise bancaire
"Un câble diplomatique américain mettant
en scène Mervyn King, le président de la Banque d'Angleterre,
Robert Kimmitt, alors sous-secrétaire au Trésor américain,
et Robert Tuttle, l'ambassadeur des Etats-Unis en Grande-Bretagne, a été
divulgué par WikiLeaks (http ://213.251.145.96/cable/2008/03/ 08LONDON797.html).
Il montre ces acteurs s'accordant, le 17 mars 2008, sur un diagnostic
de la crise : celle-ci, admettent-ils, a cessé dès l'été
2007 d'être une crise de liquidité pour devenir une crise
d'insolvabilité généralisée du secteur bancaire.
Bien que largement partagé par les commentateurs
de la presse financière à l'époque, ce sera cependant
le diagnostic inverse que ces acteurs choisiront de présenter à
l'opinion, position dont ils ne se départiront jamais.
Ce câble offre une réponse tardive à une question
que l'on se posait alors, tant les décisions prises contrevenaient
à celles qu'il aurait fallu prendre : les instances dirigeantes
faisaient-elles preuve d'incompétence ou de rouerie ? La réponse
est claire désormais : il ne s'agissait pas d'incompétence.
La dissimulation des faits avait pour seul objectif de
justifier pourquoi, entre deux décisions possibles, c'était
systématiquement la pire qui était prise. Il ne s'agissait
donc pas, comme on le constate parfois, d'une ruse paternaliste permettant
de faire valoir l'intérêt général contre des
intérêts particuliers mal avisés, non, il s'agissait
de l'inverse : il fallait faire prévaloir l'intérêt
particulier de la coterie à laquelle appartiennent ces preneurs
de décisions contre l'intérêt général.
Il y a donc deux versants à l'information financière, dont
le contenu est cependant le même : la face visible que l'on trouve
dans les écrits de commentateurs sans responsabilité que
sont les journalistes, chercheurs et autres blogueurs, s'exprimant au
nom de l'intérêt général ; et la face cachée
des décideurs, qui partagent la vision des premiers, mais en affirmant
le contraire pour pouvoir mettre en application des mesures qui ne bénéficieront
qu'au petit groupe de privilégiés dont ils font partie.
Il y eut une époque où des fonctionnaires intègres,
empreints du sens de l'Etat, constituaient un rempart. Leur credo était
précisément que leur intérêt particulier devait
s'effacer devant l'intérêt général dont ils
se considéraient les porte-parole et les défenseurs. La
pratique du lobbying a eu raison d'eux. C'est l'intérêt particulier
qui trouve désormais accès aux instances supérieures
pendant que l'intérêt général négligé
languit dans les antichambres. Les défenseurs des intérêts
particuliers l'ont emporté, sous le prétexte - né
au XIXe siècle à l'école de Vienne et grandi au département
d'économie de l'université de Chicago - que l'intérêt
général, même s'il existait, est impossible à
définir, alors que les intérêts particuliers de ceux
qui disposent des moyens de se faire entendre sont, eux, clairs.
La leçon du câble révélé par WikiLeaks
est sans ambiguïté : il n'y a pas deux cultures financières,
l'une faite d'incompétents chargés de présider à
notre destin, l'autre faite de sages informant le public par les voies
de la presse, de la radio et de la télévision, il n'y en
a en réalité qu'une, faite d'hommes et de femmes compétents
mais partagés : d'un côté, ceux qui veillent à
la défense de leurs propres intérêts et qui ont accès
aux manettes du pouvoir ; de l'autre, ceux qui dénoncent ce scandale
et sont soigneusement maintenus à distance des centres de décision".
Paul Jorion
économiste et anthropologue
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Loppsi2
Détournez
quelques milliards d'euros et l'on ne vous demandera même pas de
les rembourser.
Essayez de vivre doucement, en dehors du système d'exploitation
capitaliste, et vous serez sévèrement châtié.
Votre modeste logis sera broyé par les dégageuses mécaniques
et les lois scélérates vous obligeront à payer des
sommes que vous n'avez jamais eues.
Souvenez-vous-en lorsque vous aurez un bulletin de vote dans la
main.
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
CONSOMMATION
Electroménager,
habitat, finances... les conseils des professionnels sont rarement désintéressés
Tomislav Duric, 70 ans, souhaite installer des volets à ses fenêtres.
Il fait appel au magasin Huis Clos de Montargis (Loiret). Les commerciaux
qui se présentent à son domicile lui proposent un devis
de 3 709 euros. Comme ce retraité qui parle et comprend difficilement
le français demande un paiement échelonné, ils lui
font souscrire un crédit Cetelem sur 67 mois, au taux de 9,90 %,
dont le coût sera de 1 668,66 euros. Deux mois plus tard, la nièce
de M. Duric découvre le contrat et s'en étonne : son oncle,
ouvrier à la retraite, a toujours refusé cette forme de
paiement. M. Duric lui explique alors qu'il n'a pas compris qu'il souscrivait
un crédit à la consommation. Son frère de 75 ans,
présent lors du rendez-vous, assure qu'il n'en a pas été
question. La nièce a remboursé à Cetelem les 3 709
euros, et s'est plainte au magasin d'un " abus de faiblesse ".
Huis Clos nous assure que les commerciaux ont fait correctement leur travail.
Sur notre insistance, l'enseigne précise qu'ils sont commissionnés
: ils touchent une prime lorsqu'ils placent un crédit Cetelem ou
Sofinco. Ils sont aussi commissionnés sur le chiffre d'affaires.
Difficile alors de ne pas devenir soupçonneux. Les conseils que
prodiguent ces vendeurs sont-ils fiables ? Assurément non, répondait
le magazine " Envoyé spécial " de France 2, le
18 février 2010, après avoir enquêté avec une
caméra cachée dans plusieurs magasins d'électroménager.
Les vendeurs de Darty proposaient toujours l'article sur lequel ils touchaient
la plus grosse prime. Le client s'entendait répondre que tel téléviseur,
pourtant plus cher que tel autre, était moins bon : la prime du
vendeur n'aurait été que de 13 euros...
La CFDT explique que les vendeurs de Darty sont largement rémunérés
à la commission : la part fixe de leur salaire mensuel n'est que
de 600 ou 700 euros brut ; la différence entre le smic (1365 euros
brut), versé obligatoirement par le magasin, en vertu de la loi,
et cette part fixe, est constituée de primes sur les articles vendus.
" Un vendeur qui n'obtiendrait pas les 665 euros de différence
grâce à ses ventes serait sans doute licencié, explique
la fédération des services du syndicat. Les primes ne sont
pas liées à la vente des produits les plus chers, mais à
la vente de ceux que les acheteurs de Darty ont négociés
au meilleur prix et qu'il faut écouler. " Les vendeurs d'électroménager
sont en outre incités à " placer toutes sortes de produits
accessoires, comme les extensions de garantie, les câbles ou les
détartrants pour les machines à laver ".
Une extension de garantie, payante, permet de couvrir un appareil au-delà
des deux premières années de la garantie commerciale gratuite.
Les associations de consommateurs sont très réservées
sur l'utilité des extensions de trois à cinq ans. "
Les études sur les services après-vente révèlent
que, dans des conditions normales d'utilisation, la majorité des
pannes surviennent dans les premiers mois ou en fin de vie des appareils,
soit au-delà des 5 ans ", constate L'UFC-Que choisir.
Les extensions sont très chères, " les marges réalisées
par le distributeur pouvant atteindre 45 à 52 % ", poursuit
l'association. Les vendeurs cherchent à les placer, car elles sont
très rémunératrices pour eux. Au BHV, un vendeur
touche 80 euros pour l'extension de garantie d'un téléviseur
de 600 euros, et 40 euros pour celle d'un réfrigérateur
qui en coûte 200.
Le magazine " Envoyé spécial " assurait que les
méthodes employées chez Darty étaient les mêmes
que dans les autres magasins d'électroménager, comme But,
Conforama, Boulanger ou Carrefour. La Fnac assure que ce n'est pas le
cas chez elle. " La part variable du salaire des vendeurs ne représente
que 8 à 12 % de leur salaire, et elle est indexée sur le
volume d'affaires du rayon ", explique Gaëlle Toussaint, responsable
du service de presse. Les vendeurs sont donc incités à travailler,
mais pas à vendre les produits les plus chers ou ceux de telle
marque. " Nous avons d'ailleurs un laboratoire d'essais qui teste
les produits et les note, indépendamment des marques ", précise
l'enseigne.
Et dans les magasins de vêtements, comme cela se passe-t-il ? Dans
le roman Au bonheur des dames, Emile Zola évoquait déjà
la pratique de la guelte... Quelle cliente n'a pas été incitée
à acheter un pull trop petit ou trop grand, lorsqu'il n'y avait
plus sa taille ? Pourquoi les vendeuses des Galeries Lafayette insistent-elles
pour que l'on prenne une carte de fidélité ? Pourquoi les
caissières du BHV veulent-elles nous vendre une carte Cofinoga
? Aziza Bouster, directrice de la communication du groupe Galeries Lafayette,
n'a pas pu répondre, " faute d'avoir pu joindre les interlocuteurs
concernés ". La CGT nous apprend que le placement d'une carte
Cofinoga ou d'une carte Galeries Lafayette rapporterait 4 euros. Une carte
Printemps 3 euros.
Rafaële Rivais
© Le Monde
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
1,8
million
C'est le nombre de foyers français qui bénéficiaient
fin octobre du revenu de solidarité active (RSA),
soit plus de 3,8 millions de personnes en comptant les conjoints ou enfants.
Un chiffre en augmentation de 20% depuis juin 2009, selon un rapport intermédiaire
du comité d'évaluation.
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Oui,
on
peut changer le monde !
en
s'y mettant à plusieurs...
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Dans
notre série:
"En
finir avec le capitalisme":
Zapper, traîner des pieds, tirer au cul, quelques bonnes pistes...
Dans Le Monde Economie du mardi 11 janvier 2011:
Management
Une typologie du désengagement
Si les entreprises se préoccupent aujourd'hui d'évaluer
et d'encourager l'engagement de leurs collaborateurs, c'est bien sûr
en raison des exigences de compétitivité inédites
de l'économie mondialisée, mais c'est aussi parce qu'elles
craignent que nombre d'entre eux ne se désengagent. Par exemple,
dans une enquête réalisée en 2009, moins de 10 % des
salariés d'Airbus se déclaraient " pleinement mobilisés
" pour l'entreprise.
Cette thématique du désengagement des salariés s'est
substituée à celle de l'opposition, caractéristique
des années de croissance. De fait, la France connaît depuis
plusieurs années une chute très sensible du nombre de jours
de grève enregistrés par le ministère du travail,
en raison à la fois du contexte de sous-emploi, de la montée
de la précarité et du déclin des collectifs syndicaux
et de métiers.
Dans le même temps, ces mouvements sociaux deviennent essentiellement
défensifs. Il arrive même que la grève apparaisse
aujourd'hui, dans le contexte de la crise, comme une action collective
" de la dernière chance ", voire comme un " baroud
d'honneur ", comme lors des conflits spectaculaires médiatisés
en 2009 (Mollex, Continental, etc.). Faut-il pour autant en conclure au
caractère marginal ou résiduel des comportements de résistance,
voire de révolte ?
En fait, la " conflictualité " sociale, si elle inclut
la grève, ne s'y limite pas. Bien au contraire, de multiples formes
d'action existent dans l'entreprise qui, si elles sont plus discrètes
ou moins générales, n'en expriment pas moins refus ou revendications.
L'étude récente de Jacques Bélanger et de Christian
Thuderoz (" Le Répertoire de l'opposition au travail ",
Revue française de sociologie, septembre 2010, p. 427-461) l'éclaire
de manière originale. Mobilisant approches théoriques et
empiriques, ces chercheurs soulignent en premier lieu que les entreprises
demeurent des " territoires de contestation " : le consentement
n'est jamais acquis.
" Opposition au travail "
Ils montrent ensuite comment les pratiques conflictuelles se sont profondément
diversifiées et renouvelées, pour s'adapter aux modes d'organisation
et de management contemporains. En particulier, ils croisent les niveaux
d'engagement et d'opposition des salariés avec les différentes
formes du contrôle managérial (par " assujettissement
" ou par " responsabilisation "), identifiant ainsi les
diverses " figures d'opposition au travail " : retrait, irrévérence,
récalcitrance, militance, cynisme, distance, rébellion,
et renoncement.
Le premier enseignement est de rappeler qu'engagement (au travail) et
opposition (à des décisions ou des comportements jugés
inacceptables) peuvent coexister, remettant en question la vision binaire
largement dominante dans les entreprises.
Le second apport de cette étude est de montrer comment l'opposition
s'individualise aujourd'hui. Ainsi dénomment-ils " distance
" l'attitude d'un collaborateur très engagé mais exprimant
discrètement, par des traits d'humour, des moqueries et un certain
cynisme, son opposition voilée à telle ou telle pratique
de l'entreprise, lors de réunions ou bien sur... Facebook. Cette
distance de l'employé très engagé peut devenir "
renoncement " quand son opposition s'affirme au grand jour et bute
sur la rigidité des systèmes de gestion et l'intransigeance
du management, comme on l'a vu lors de suicides récents de salariés
parmi les plus investis dans leur travail.
Voici soixante ans, Albert Camus soulignait dans L'Homme révolté
(Gallimard, 1951) que celui qui s'oppose ne renonce pas, " c'est
aussi un homme qui dit oui, dès son premier mouvement ". Le
philosophe dévoile ainsi le pouvoir de clarification des enjeux
de la révolte, qui identifie ce qui est à négocier.
En conséquence, reconnaître la valeur de l'opposition et
ne pas la réprimer, mais au contraire la prendre en compte, peut
contribuer de manière décisive à l'engagement des
salariés.
Jean-Marc Le Gall
Jean-Marc Le Gall est conseil en stratégies sociales et professeur-associé
au Celsa.
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
A propos des abeilles et de l'autorisation
de réutiliser le poison Cruiser
si vous
souhaitez signer la pétition
PLUS D'INFORMATIONS
Abeilles: le ministère de l'Agriculture renouvelle l'autorisation
du Cruiser, L'Humanité, 8 Décembre 2010
http://www.humanite.fr/08_12_2010-abeilles-le-ministère-de-lagriculture-renouvelle-lautorisation-du-cruiser-459571
L'UNAF dénonce le renouvellement illégal de l'autorisation
du pesticide Cruiser, Communiqué du 9 Décembre 2010
http://www.avaaz.org/communique_unaf
Le futur des abeilles entre les mains du lobby des pesticides? Corporate
Europe Observatory et Cordination Apicole Européenne, Novembre
2010
https://docs.google.com/viewer?url=http://bee-life.eu/medias/news/futur-fr.pdf
L'apiculture française s'organise, la lutte contre les pesticides
au coeur de l'action, Actu-environnement, Février 2010:
http://www.actu-environnement.com/ae/news/apiculture_abeille_unaf_pesticides_9639.php4
Les élus signent une charte de soutien aux apiculteurs, La France
Agricole, Mars 2010:
http://www.lafranceagricole.fr/actualite-agricole/abeilles-pesticides-les-elus-signent-une-charte-de-soutien-25513.html
Document révélant la connaissance qu'avaient les autorités
des Etats-Unis de la toxicité des pesticides (en anglais):
http://www.sfgate.com/cgi-bin/blogs/green/detail?entry_id=79910
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Sur
l'Islande :
http://bellaciao.org/fr/spip.php?article112101
(Faut lire également à la suite le commentaire d'un Islandais
qui tempère un peu l'enthousiasme de l'article).
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Comprendre
les retraites:
http://www.youtube.com/watch?v=hzmkcjb8lto&feature=related
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Le
travail, pourquoi ?
partie 1
http://www.dailymotion.com/video/xg281s_pourquoi-vous-travaillez-y_news_
partie 2
http://www.dailymotion.com/video/xfoozd_mondialisation-le-travail-pourquoi-y-partie-2_webcam
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Pour
rigoler avec les "décideurs-irresponsables":
La carte
des déchets nucléaires en France:
http://www.sortirdunucleaire.org/carte/
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Pour
la semaine de 32 heures
(Le Monde
13 janvier 2011 p 20)
Il y a quelque
chose d'insultant pour les millions de chômeurs recensés
ou non, de travailleurs précaires ou épuisés, de
salariés contraints au temps partiel, de s'entendre dire à
nouveau, cette fois-ci par Manuel Valls, député PS de l'Essonne,
qu'il leur serait possible de gagner plus en travaillant plus. Cependant,
le florilège de déclarations tonitruantes sur les 35 heures
a au moins l'avantage de rouvrir le débat sur la durée du
travail.
C'est le moment, parce que les pays qui ont le mieux réussi à
contenir la montée du chômage durant la crise ont pu le faire
" en encourageant notamment des réductions du temps de travail
afin d'éviter des licenciements ", comme le souligne l'OCDE
en faisant allusion au chômage partiel. Ce qui ne l'empêche
pas, fidèle à son idéologie, de prôner "
le retrait progressif de ces mesures à mesure que la reprise économique
se confirme " parce qu'elles coûtent cher, soit aux entreprises,
soit aux finances publiques.
La réduction des dépenses publiques et la reconstitution
des marges des entreprises passeront donc avant la lutte contre le chômage.
C'est dans ce contexte que s'inscrit la nouvelle offensive déclenchée
par l'UMP et par le secrétaire d'Etat chargé du commerce,
Hervé Novelli, secondés par Manuel Valls contre les 35 heures
: il s'agit de faire sauter l'une des dernières digues contre l'individualisation
du rapport salarial, la notion de durée légale du travail.
La double crise économique et écologique devrait pourtant
amener à repenser les politiques de lutte contre le chômage.
En Europe et en France, il n'y a aucune raison de tout miser sur la croissance,
surtout parce que, même si l'on renonçait à ces purges
sous la pression des mouvements sociaux, c'est le modèle de développement
lui-même qu'il faudra revoir. Le lien entre taux de croissance du
PIB global et emploi perdra de son sens dans une économie où
certains secteurs - intensifs en produits durables et de qualité,
et donc en emplois - devront croître de façon accélérée
alors que d'autres devront décroître rapidement.
Pour entamer la nécessaire bifurcation de ce modèle, deux
politiques phares sont décisives : un effort colossal d'investissement
public et privé dans la reconversion écologique du système
productif ; une réduction générale de la durée
du travail à temps plein. Il faut pour cela opérer à
la fois un accroissement important du taux d'investissement, et une augmentation
de la masse des salaires grâce à la création d'emplois
sans baisse de rémunération. Ce n'est possible qu'à
une seule condition : une réduction du prélèvement
imposé par la finance et les riches sur le revenu national.
Le gouvernement reconduit au contraire les cadeaux fiscaux aux privilégiés
- 100 milliards d'euros par an pour les mesures fiscales prises depuis
2000 - alors que le service de la dette publique atteint 50 milliards
d'euros par an et que les dividendes ont repris leur progression. Voilà
pourquoi la question de la répartition est décisive : il
faut choisir entre verser des intérêts et des dividendes
ou créer des emplois par la reconversion écologique et la
réduction du temps de travail.
Le bilan des 35 heures est certes ambivalent : créations massives
d'emplois pérennes d'un côté - le chiffre officiel
de 350 000 emplois créés par les lois Aubry n'a jamais été
contesté -, intensification du travail et gel des salaires de l'autre.
Mais à court et moyen terme, la réduction du temps de travail
demeure un moyen indispensable pour faire reculer le taux de chômage.
Deux principes doivent être respectés. Une réduction
du temps de travail de 10 % - vers les 32 heures - doit impliquer 10 %
d'embauches supplémentaires, de manière à ne pas
intensifier le travail et à réduire sa pénibilité.
Et il faut maintenir les salaires mensuels (compensation intégrale).
L'augmentation de la masse salariale (plus d'emplois payés autant
qu'avant) ne conduit pas à une perte de compétitivité,
dès lors que le supplément de salaires est compensé
par une moindre distribution d'intérêts et de dividendes.
Contre le chômage, " on a tout essayé ",
disait François Mitterrand... sauf de toucher aux profits financiers.
En conservant l'actuelle répartition des revenus, il ne sera possible
ni de faire reculer le chômage, ni d'enclencher la transition écologique.
Toute proposition contraire est une illusion. Quant à l'idée
d'allonger la durée du travail, c'est une véritable aberration
économique et écologique.
La réduction du temps de travail constitue la base matérielle
sur laquelle peut se construire un autre modèle de développement,
en France comme en Europe. En faisant reculer le chômage et la précarité
et en réduisant la pénibilité, elle est la condition
d'un travail décent pour toutes et tous. En donnant la priorité
au temps libre sur le productivisme et le consumérisme, elle est
la condition d'émergence de nouveaux modes de consommation, de
vie, de participation à la vie de la cité, qui permettront
seuls de faire face aux défis environnementaux et sociaux.
La redistribution des revenus sous forme d'accès à l'emploi
et à plus de temps libre est un puissant réducteur d'inégalités
sociales. C'est pourquoi, nous nous prononçons en faveur d'une
perspective de reprise du processus de baisse de la durée du travail,
vers les 32 heures, au nom d'un modèle de développement
égalitaire assurant à tous les citoyens une insertion sociale
décente. Il faut rompre avec la logique perverse qui fait
dépendre l'emploi de la rentabilité et prendre les choses
à l'envers : quels emplois utiles pour quels besoins sociaux ?
Collectif
Geneviève Azam, Mireille Bruyère, Benjamin Coriat, Thomas
Coutrot, Jean Gadrey, Jérôme Gleizes, Jean-Marie Harribey,
Michel Husson, Dany Lang, Philippe Légé, Frédéric
Lordon, Gus Massiah, Fabienne Orsi, Dominique Plihon, Gilles Raveaud,
Maël Theulière, Aurélie Trouvé sont économistes
;
Catherine Bloch-London,
sociologue ;
François Desriaux,
journaliste ;
Pierre Khalfa,
syndicaliste ;
Dominique Méda,
Evelyne Serverin,
juriste
© Le Monde
Lire aussi les pages 12 et 13 sur les 35h
Pour ceux qui ne peuvent l'acheter, il se trouve à la médiathèque
"En contrepartie des 35 heures, les entreprises ont aussi
obtenu des allégements de charges substantiels (10 milliards d'euros
en 2002). Depuis la loi Fillon du 17 janvier 2003, ces exonérations
ne sont plus liées qu'au seul niveau du salaire (entre 1 et 1,6
smic). Le montant total de ces allégements a été
évalué à 22 milliards d'euros dans la loi de finances
2010".
22 milliards d'euros à rapprocher du "Trou" de la Sécu
!
35 HEURES, LE DÉVERROUILLAGE PROGRESSIF
Depuis son
retour au pouvoir en 2002, la droite n'a cessé de vider de leur
substance les lois Aubry I et II.
En septembre 2002, un décret transitoire a porté de 130
à 180 heures le contingent annuel d'heures supplémentaires
et, en décembre, les 35 heures ont été suspendues
dans l'hôtellerie-restauration.
La loi Fillon du 17 janvier 2003 a permis aux entreprises de déroger
aux 35 heures par accord collectif.
La loi du 4 mai 2004 a renforcé les possibilités de dérogation
offertes aux entreprises.
La loi TEPA du 21 août 2007, qui déclinait le " travailler
plus pour gagner plus " de Nicolas Sarkozy, a détaxé
les heures supplémentaires.
La loi Bertrand du 20 août 2008 a parachevé ce détricotage
: elle décontingente les " heures sup ", élargit
les possibilités d'aménager et de réduire la durée
du travail sans accord collectif ou de manière collective simplifiée.
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Niou
ZAPPER
LE SYSTEME...
Se réapproprier sa vie... Pourquoi pas au fond, on crèvera
quand même, mais un peu plus conscients.
Une fois que les exploiteurs se retrouveront seuls entre-eux... que peut-il
se passer ?
Voir La Boétie:
"Il nous paraissent grands parce que nous sommes à genoux"
Des idées
pour "Zapper Le Système" :
BIZI (Merci à Hervé)
Un grand pique-nique "spontané" dans un espace public
pour discuter politique, philosopher, créer des réseaux
parallèles...
3000 personnes
occupent la FNAC dans un silence de mort...
La ZONE DE GRATUITÉ DE LA RUE DE VILLIERS (Merci à Marie)
Qui rejoint "la prise au tas" chère à Henri Solans.
Voilà une bonne idée, pour développer le lien social,
la rencontre, sur l'idée du plaisir plutôt que la débauche
mercantile qui nous sépare et nous infantilise, pour le profit
de quelques prédateurs-exploiteurs de l'humanité. Dépêchons-nous
d'en créer dans toutes les villes et villages... avant que cela
soit interdit par les "excellents" et la Commission de Bruxelles
!
http://utoplib.blogspot.com/2010/01/zone-de-gratuite-le-retour.html
http://fr.ekopedia.org/Zone_de_gratuité
http://zonedegratuite.hautetfort.com/
à
suivre...
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Niou
Déjà
la suite
A voir sans
tarder et à conseiller aux amis:
http://www.facebook.com/video/video.php?v=153941754645608
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Niou
34
centimes la minute...
Après
Guy Debord qui, en visionnaire discret, a très tôt révélé
les mécanismes de la « société du spectacle
» telle que nous la subissons aujourd'hui dans ses travers, ses
extravagances et par-dessus tout sa superbe vulgarité, Raffaele
Simone, linguiste italien, élargit le cadre tout en le scrutant
avec la loupe de l'évidence lucide dans Le Monstre doux. L'Occident
vire-t-il à droite ? (Gallimard, 180 pages, 17,50 euros). Mais
déjà en 1834, Alexis de Tocqueville nous prévenait
: « Si le despotisme venait à s'établir chez les nations
démocratiques de nos jours, (...) il serait plus étendu
et plus doux, et il dégraderait les hommes sans les tourmenter.
»
Nous sommes devenus des citoyens abîmés, des clients abreuvés
d'images dont le but ultime est de supprimer avec allégresse et
consentement notre être libre, nous retirer le statut d'individu
en tant qu'entité singulière. Le système démocratique
fonctionne comme une musique d'ascenseur faite pour endormir et faire
tout accepter. Et ça marche ! Une panne informatique gèle
toute communication. Une erreur judiciaire écrabouille l'individu
dans un engrenage dont il sortira en lambeaux. Parfois, il suffit d'un
petit tracas technique pour se rendre compte que l'être est en train
de perdre son essence et qu'il ne se trouve plus face à un être
de chair avec qui parler, négocier et même bavarder, mais
face à un semblant d'être qui répond avec une politesse
préfabriquée qui devrait vous mettre en confiance.
Celui qui a inventé le téléphone à touches
et la voix artificielle est un génie, enfin quelqu'un qui a poussé
la déshumanisation des relations entre les citoyens au plus haut
niveau de mépris. Car celui qui vous répond après
avoir laissé tourner le compteur du téléphone à
34 centimes d'euro la minute le temps que cela rapporte assez à
la société où il travaille se présente à
vous en ces termes « Daniel, à votre service ». D'abord
il ne s'appelle pas Daniel mais Karim ou Abderrazak. Il est dans une cabine
en Tunisie, au Maroc ou dans un pays lointain. Il est « gentil »,
mais se révèle vite incompétent, et vous oriente
vers un autre service, souvent appelé « assistance technique
». Là, vous refaites le numéro 08... et vous attendez
en vous imposant une musique exécrable ponctuée par une
voix qui vous répète « Nous vous remercions de patienter
quelques instants, un conseiller va prendre votre appel ». Vous
attendez. Le compteur tourne. Vous calculez que la société
est en train de vous prendre de l'argent avec votre consentement. Et soudain,
la même voix féminine vous prévient : « Vu le
nombre d'appels, nous ne pouvons pas vous répondre actuellement
; nous vous invitons à renouveler votre appel ultérieurement.
» Mais il arrive aussi que Daniel ou Nathalie vous donne des ordres.
Faites ce numéro, faites cet autre, introduisez votre identifiant,
puis votre code, je vais avoir accès à votre dossier, merci
de patienter, et voilà qu'on vous demande (pour la énième
fois), de vous adresser au « service assistance technique »
où « une cellule » est en mesure d'accéder à
votre dossier. Ah, le cher, très cher Service technique. C'est
le sésame, c'est Georges ou Lucienne, c'est quelqu'un qui existe
peut-être et qui résoudra votre problème.
C'est le paradis. La « voix » royale pour la liberté.
Mais pour cela, « vu le nombre important de demandes », vous
êtes obligé d'attendre « entre dix et vingt et un jours
». Passé ce délai, ne recevant rien, vous rappelez
Georges ou Lucienne, et là, catastrophe, c'est Philippe ou Marie
qui vous répond. Ils ne sont au courant de rien. Il faut repartir
de zéro et, armé ou non de patience, vous avez envie de
hurler, d'appeler la police, la gendarmerie, le préfet, le maire,
le ministre... Bref, vous venez de découvrir à l'occasion
d'un problème de connexion que vous êtes un dossier muni
d'un RIB, et vous n'avez aucun moyen de vous défendre, aucune possibilité
de vous trouver en face d'une personne et de lui parler, à moins
de faire partie de « la VIP-society » qui a droit à
un traitement de faveur.
Ce qui se produit avec les sociétés de la téléphonie
et d'Internet est en fait la quintessence de la société
« monstrueusement douce » que nous préparent des politiques
sans âme, sans sincérité, devenus les jouets de la
société du spectacle. Et qui sont inaccessibles, du simple
fait qu'ils sont eux-mêmes les pantins d'un système où
la vieille bureaucratie dont on se plaignait est devenue un monstre invisible,
interchangeable, où d'un côté le citoyen est démuni,
et de l'autre des petits malins de la finance ont mis au point une machine
à sous qui rapporte à chaque fois que vous êtes en
difficulté. A raison de 34 centimes la minute, multipliés
par des milliers de clients mécontents par jour, multipliés
par un temps assez long, l'opérateur n'a même plus besoin
de travailler, il suffit qu'il installe un centre d'appels délocalisé
dans un pays où la journée de travail est payée quelques
euros, et voilà la boucle bouclée.
Tout cela est légal. Les contrats ont été signés.
Les gens se plaignent, mais sont impuissants. Telle est l'époque.
On s'y fait ou on se tait. Nous voilà devenus des individus avec
un peu moins de liberté chaque jour qui passe. Tout a été
calculé, prévu au moindre détail par des technocrates,
pour que le citoyen soit dépouillé en toute légalité
et qu'il ferme sa gueule, car au bout du fil il a un malheureux étudiant
qui se fait appeler David ou Kevin pour le rassurer et faire fonctionner
la machine à sous.
Pendant ce temps-là, la médiocrité généralisée
et la vulgarité de certains amuseurs publics se répandent
et occupent notre part de cerveau encore disponible. Et nous sommes consentants
!
Tahar Ben Jelloun / dans Le Monde du 10 10 10
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Niou
Billet
d'humeur
Daniel nous
fait parvenir cette lettre de Gustave Flaubert du 12 juin 1867 à
George Sand :
« Je me suis pâmé, il y a huit jours, devant un campement
de
Bohémiens qui s’étaient établis à Rouen.
Voilà la troisième fois que
j’en vois. Et toujours avec un nouveau plaisir. L’admirable,
c’est
qu’ils excitaient la Haine des bourgeois, bien qu’inoffensifs
comme
des moutons. Je me suis fait très mal voir de la foule en leur
donnant quelques sols. Et j’ai entendu de jolis mots à la
Prudhomme.
Cette haine-là tient à quelque chose de très profond
et de complexe.
On la retrouve chez tous les gens d’ordre. C’est la haine
qu’on porte
au Bédouin, à l’Hérétique, au Philosophe,
au solitaire, au poète. Et
il y a de la peur dans cette haine. Moi qui suis toujours pour les
minorités, elle m’exaspère. Du jour où je ne
serai plus indigné, je
tomberai à plat, comme une poupée à qui on retire
son bâton. »
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Niou
Billet
d'humeur
Allez voir
çà:
http://www.droitaulogement.org/Loi-LOPPSI-Expulsion-Expeditive.html
Restons entre
super-nantis, merde kôa !
Faisons disparaître
les pauvres, les mal logés, faisons des lois pour ça...
Oui, il ne faut pas attendre d'un gouvernement de droite une politique
sociale très brillante.
Nous savons qu'un des buts des partis de droite est d'assurer les privilèges
des trop-nantis et de se débarrasser des trop-pauvres pour être
tondus.
Pour réussir, il faut qu'ils fassent peur, il faut qu'ils fassent
souffrir !
N'oublions pas que dans leur morale imposée aux autres plutôt
qu'à eux-mêmes, il faut mériter le paradis dans un
autre monde en souffrant dans celui-ci...
C'est donc rendre service aux malheureux que de les rendre plus malheureux
encore, c'est le ticket assuré pour le "Paradis" et rapidement,
car il fait froid l'hiver...
Où iront loger les pauvres délogés par les préfets
?
Eh bien, par exemple, dans les pays pauvres, genre Roumanie ou Hongrie
où il fait encore plus froid l'hiver.
Ils peuvent devenir SDF et comme les statistiques sur le sujet sont très
imprécises... Ils disparaîtront tout simplement !Quant
à ceux qui ont goûté aux joies de l'habitat choisi,
il faut qu'ils en chient aussi.
Voir des gens heureux qui en plus ne dépensent rien, est intolérable
pour les super-nantis qui répandent leurs gros soucis nullissimes
dans les magazines people !
N'oublions
pas toutefois que le gouvernement liberticide d'aujourd'hui a été
formé par un président élu démocratiquement
par "le peuple".
Peuple et
People faut pas confondre...
Dans la manif,
l'autre jour, j'ai entendu cette phrase:
"En France les cochons élisent le charcutier !"
@+
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Niou
Retraite
ou Bérézina
Hervé
Le Tellier, sur Le Monde.fr:
Grève
reconductible. Je vous explique son sens : si vous ne preniez plus votre
voiture mais voyagiez en train ou en métro, eh bien, vous allez
devoir reconduire.
Mandelbrot, Monsieur "Fractales", est mort. Il a montré
que selon l'unité de mesure, la longueur de la côte bretonne
variait de 1 à 100. Tout s'éclaire : la police utilise les
fractales pour compter les manifestants.
"La retraite à 60 ans ? "La faute à Mitterrand",
a dit notre président. C'est vrai. Mieux encore : Léon Blum
aurait une responsabilité dans les 40 heures, et Voltaire et Rousseau
dans la démocratie".
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Niou
Alerte
royale
Des soldats
israéliens ont trouvé un moyen imparable pour éloigner
les animaux qui s'approchent de la clôture électronique à
la frontière nord d'Israël et les empêchent de dormir
en déclenchant des alarmes : ils répandent près des
clôtures des crottes de lion récupérées au
zoo de Tel-Aviv.
Je me demande
de quoi veulent se protéger les propriétaires de chiens-chieurs
qui répandent les crottes de ces derniers sur les voies publiques
et les trottoirs de Perpignan ?
En
savoir un peu plus
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouz
Le
café des crottes
Le kopi luwak
("café de civette") est un café indonésien
dont la particularité est d'être récolté dans
les crottes d'un petit mammifère. A Londres ou à Tokyo,
une seule tasse de ce café, réputé le plus cher du
monde, peut coûter de 20 à 50 dollars.
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouz
Trouvé
sur le web
"Page
non trouvée - Erreur 404
La page demandée est introuvable.
Il se peut que vous ayez cliqué sur un lien inactif ou mal tapé
l'adresse.
Veuillez
noter que certaines adresses web sont sensibles à la casse".
(?)
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
pour
se bidonner:
http://www.stanker.fr/mur-de-bidons.html
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Rappel
Très intéressantes photos mettant en scène la violence
d'état:
28 avril
2010 : Photos
du blocage de l’Elysée par des antinucléaires
Des antinucléaires ont bloqué la porte principale de l’Elysée
pendant 30 minutes le mercredi 28 avril 2010 à 10h30. Parmi les
15 activistes, 10 ont été arrêtés par les forces
de l’ordre, dont un homme de 78 ans. Cette action était destinée
à mettre symboliquement en arrestation le locataire de l’Elysée.
Photos ©Martin LEERS 2010 Tous droits réservés.
Photos du blocage de l'Elysée par des antinucléaires - Les
groupes du Réseau "Sortir du nucléaire"
Si ça
ne fonctionne pas, ne pas s'inquiéter et supprimer sur la page
"erreur 404" obtenue, dans la case de l'url, la première
partie de l'adresse, soit "http://robsu.free.fr /%0D%0D" et
relancer. Sur mon ordi, ça marche !? Comprend qui peut !
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Grèce
De Paul Giacobbi:
Le monde
a l'envers (II) 23/04/2010
Les mésaventures
de la Grèce, berceau de notre civilisation européenne, me
surprennent. Les Etats européens semblent bien frileux pour prêter
moins de vingt milliards d'euros à ce pays membre de la zone euro,
la banque centrale européenne est aux abonnés absents et
le FMI plus que réticent.
Pourtant les uns et les autres n'ont pas fait tant de chichis quand
il s'agissait de sauver des banques... La vertueuse Allemagne a placé
des milliards, des dizaines de milliards d'euros du trésor public
dans le capital de la catastrophique "Hypo Real Estate", la
BCE a prêté à un an et à un pourcent, sans
contrepartie plus de huit cent milliards d'euros aux banques européennes
et le placement de ce pactole s'est fait en une heure ou deux et le FMI
a passé deux ans à dire que les trésors plublics
ne donnaient pas assez pour sauver les banques.
Je recommande à la Grèce de changer de statut: qu'elle abandonne
celui de République pour celui de banque et alors plus de réticences,
la BCE lui allongera cent milliards en une heure, à un pourcent,
le trésor allemand quelques dizaines et le FMI lui fera les yeux
doux. Il y avait autrefois de remarquables économistes monétaires
en Grèce, notament cet ancien gouverneur de la banque centrale,
Xenophon Zolotas si mon souvenir est exact, et je suis certain que s'ils
étaient encore en vie ils auraient pensé à ma solution!
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Vivre
la vie d'un sans-abri en direct
Le SAMU social vient de lancer, dans le cadre d'un appel aux dons, une
intelligente campagne publicitaire sur Internet, destinée à
sensibiliser au sort des laissés-pour-compte de la rue. Le site,
intitulé Danslapeaudunsansabri.com,
met l'internaute en immersion dans le dur quotidien d'un sans-abri à
travers un film de vingt-quatre heures. Des SDF, équipés
de caméras miniatures placées sur des lunettes, ont ainsi
filmé leur propre vie pendant une journée. L'expérience
multimédia se veut hybride, à mi-chemin entre documentaire
et témoignage brut, sans montage. Une fois entré sur le
site, le film se cale automatiquement sur l'heure à laquelle l'internaute
s'est connecté. Un réalisme temporel qui, au-delà
de cette plongée en images, ne peut empêcher le témoin
de s'identifier au SDF. D'autant plus que, lorsque l'internaute désire
interrompre le visionnage, un message s'affiche : "Désolé,
sortir de la rue est beaucoup plus difficile." Stefania Parigi, directrice
du SAMU social, note que cette expérience a permis aux sans domicile
fixe volontaires d'être, "pour une fois, maîtres de leur
image non floutée".
©Le
Monde
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
100
100
endroits de la planète en danger
"100 endroits dont il faut se souvenir avant qu'ils ne disparaissent"
est un site qui recense des lieux du globe menacés par le réchauffement
climatique. Ces 100 photographies, également relayées par
un portfolio sur le site du magazine Newsweek, font l'objet d'un
ouvrage en anglais.
©Le
Monde
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Inquiétant
Les
dérives hallucinantes du système normativo-féodal
à lire sur le site de Kim.
Kim a fini
par assigner La Poste (qui refuse de déposer son courrier dans
sa boite aux lettres) en justice.
Le jugement
sera rendu début juin.
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Inquiétant
(bis)
Derrière
les barreaux
Environ 2,3 millions d'Américains étaient en prison en janvier
2010, soit près d'1/100 en âge d'être incarcérés,
selon une étude du Pew Center. Les USA continuent ainsi de dominer
les statistiques internationales en termes de taux d'incarcération.
Pour info
en France on en est qu'à environ 1/1000.
De beaux
jours pour les politiques répressives !
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
In
Des idées,
des objets et un dossier (sic) sur des assises en carton, c'est chez
Marcel
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
In-encore
Spécial
amateurs de Design
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Aux
normes
©le
Monde
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Zoom
imprenable sur Paris
Un nouveau record du monde de la plus grande image panoramique vient d'être
battu : il s'agit d'une vue de Paris réalisée par les photographes
Arnaud Frich et Martin Loyer de Paris-26-gigapixels.com.
16 mois de préparation ont été nécessaires
pour assembler les 2 346 clichés haute résolution. Les zooms
sur la tour Eiffel et Montmartre méritent le coup d'œil, avec
en bonus la musique de Yann Tiersen. |
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
MIAM
!

ATELIER
VITALITE ALIMENTATION VIVANTE ET GRAINES GERMEES
Avec Marguerite Godbout, restauratrice et intervenante bien-être
originaire du Québec, apprenez à préparer des
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Inscription au 06 30 14 96 14 ou 09.62.57.23.80
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SUSHI
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mets japonais délicat, sain et savoureux, entouré de vos
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Se
faire une éolienne ?
Pourquoi-pas
?
http://energiecitoyenne.free.fr/eolienne.html
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
l'essence
au plomb:
Un aspect
mal connu de l'horreur capitaliste (Pour ceux qui doutent encore):
Plus de 30
pays du monde continuent d’utiliser l’essence avec plomb en
particulier l’Afghanistan, l’Algérie, le Bhutan, le
Cambodge, Cuba, l’Iraq, le Laos, la Mongolie, le Myanmar, la Corée
du Nord, le Tadjikistan, le Turkménistan et l’Ouzbékistan".
Il est estimé qu’entre 1926 et 1985 ce sont 6 millions de
tonnes de plomb qui ont été brûlées comme additif
de l’essence aux Etats-Unis seulement.
http://membres.multimania.fr/ecarl/essence.html
http://divergences.be/spip.php?article866
http://forum.automobile-sportive.com/viewtopic.php?t=10360
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Niou
La "Dette"
de la sécu:
« TROU »
DE LA SECURITE SOCIALE
OU CULPABILISATION POLITIQUE ?
Des bruits
sussurent que les exonérations patronales et les ardoises non réglées
dépassent largement le fameux TROU.
De là
à commencer à comprendre pourquoi on veut privatiser le
monstre...
Les comptes
de la Cour des Comptes peuvent être vérifiées sur
le site de ladite cour :
France rapport
sur la sécurité sociale...Kikiva ?
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
8
millions
C'est le nombre de personnes qui vivent en France avec moins de 908 euros
par mois. Même si ce niveau est stable depuis dix ans, la situation
des plus vulnérables s'est "dégradée" et
risque de s'aggraver avec la crise, selon le sixième rapport
de l'Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale.
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouz
949
euros
C'est le seuil de pauvreté en France par mois, en 2008, selon une
étude publiée par l'Insee, établie sur la base des
revenus fiscaux et sociaux. Environ un ménage sur huit, dont près
d'un tiers des familles monoparentales,
vivent sous ce seuil de pauvreté.
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Niou
La
seconde vie d'une BD sur le Web
Les blogs de bande dessinée font souvent office de passerelle pour
les dessinateurs, un moyen peu onéreux de se faire connaître
des éditeurs. Le parcours de l'album Gordo, un
singe contre l'Amérique du dessinateur Fred Boot et du scénariste
Fabrice Colin est singulier car il emprunte le trajet inverse. Deux ans
après sa publication, ses créateurs ont décidé
de le mettre en ligne gratuitement sur le site Webcomics.
Paru initialement en juin 2008 aux éditions L'Atalante, les petites
cases racontent le blues très connoté jazzy d'un singe dans
un monde d'hommes. Bien reçu par la critique, l'album est hélas
retiré des rayons au bout de trois semaines, une durée de
vie trop courte pour rencontrer son public. Depuis le 15 février,
une planche de la BD est publiée gratuitement chaque jour du lundi
au samedi. En bonus, les auteurs proposent en guise de bande sonore une
sélection de morceaux de jazz des années 1950, d'Elvis Presley
et du Rat Pack. Remotivé, Fred Boot envisage une seconde aventure
de Gordo, cette fois diffusée uniquement sur la Toile.
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
RAPPEL
Nous tenons
à vous informer de la mise en ligne du site www.pourlasuppressionduministeredelidentitenationale.org
où vous retrouverez :
- Un appel, à signer et à
faire circuler ;
- Des textes de références ;
- Un film en préparation et
une souscription.
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Nouveau
et inintéressant
Un stylet
iPhone original
En Corée du Sud, des utilisateurs de l'iPhone ont découvert
qu'une saucisse avait les mêmes caractéristiques qu'un doigt.
L'astuce permet ainsi de ne plus se déganter en ces temps hivernaux
pour tapoter sur l'écran de son smartphone.
Les ouvriers
Philips de Dreux peuvent se reclasser "en Hongrie, pour 450 €,
à condition de parler hongrois". J'ai un produit Philips,
leur best-seller : un presse-citron.
Jeudi 18
février 2010:
La tablette de trop
Un Allemand a été débouté mardi par la Cour
européenne des droits de l'homme après huit années
de procédure infructueuse pour se faire rembourser des tablettes
de magnésium par la Sécurité Sociale d'un montant
de 7,99 €.
(source:
Le Monde)
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
kicé-kirigole
Des policiers
britanniques ont essuyé un blâme après avoir fait
usage de leurs boucliers comme luges pour dévaler une pente enneigée. Des
images filmées par un passant ont fait le tour du Net.
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Floutche
!

Fumier.com,
l'effet "bouze" de la Toile
Si vous recevez par la poste une boîte en bois où
figure une vache affublée d'une cape de super-héros, inutile
de l'ouvrir, vous êtes la cible de fumier.com. Comme son nom l'indique,
ce site venge les internautes des odieux personnages que l'on appelle
parfois "fumiers". Et ces auteurs installés en Franche-Comté
- région que l'on sait peuplée de vaches - ne manque pas
d'humour. Pour 8,50 euros, la fameuse (fumeuse ?) boîte comprend
l'engrais (certifié 100 % naturel), accompagné d'un message
personnalisable, emballé dans un sachet transparent. Une fois passé
commande, le site l'expédie au destinataire de votre choix. Une
manière insolite de régler ses comptes par exemple avec
sa hiérarchie, un vieil ennemi, ou un amour déçu.
Les boîtes comme le fumier sont confectionnés chez un agriculteur
surnommé Roger Combotte, mascotte du site. Selon son créateur,
Olivier Legrand, 40 ans, directeur artistique du Studio d'imagination,
"60 à 70 %" des clients sont de Paris ou de la région
parisienne, et beaucoup ont envoyé du fumier à des ex".
Certains politiques de la région auraient passé commande
pour quelques ennemis, mais le site aurait refusé.
(source:
Le Monde)
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Artiste
à l'affiche


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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Carnet
rose
Avis de naissance.
Association Zone Franche, née le 23 janvier 2009
A l’origine de Zone Franche, il y a la volonté de créer
un espace de liberté audiovisuel indépendant, sans frontières,
ouvert à toutes les cultures et où la créativité
sera le moteur permettant de démocratiser la photographie artistique
et au final diffuser le résultat de ce travail sur une télévision
via internet.
Voyager dans l’histoire de la photographie, revisiter les pratiques
photographiques anciennes ou plus récentes, poser un autre
regard sur l’image, travailler à des réalisations
communes et finalement déboucher sur des projets audiovisuels,
est l’ambition de Zone Franche.
Plusieurs expositions chaque année dans les locaux du Centre Espagnol
de Perpignan, permettant à la fois aux photographes de Zone Franche
et à des artistes invités de montrer leur production, des
conférences, des séances de prise de vue en studio, des
stages, des visites d’expositions et des sorties à thème
seront les temps forts que nous proposons.
Centro Espagnol, 26, Rue Jeanne d'Arc, 66000 Perpignan
Renseignements : www.zone-franche.eu
info@zone-franche.eu
tel :
06 20 83 64 58 ou 06 50 10 37 12
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
La
dernière de Ben
http://www.ben-vautier.com
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouz
Marché

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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Le
point de vue de Nicolas Caudeville:
Une politique de jeunesse pour la ville, pas une vitrine pour la contenir!
"C'est la fièvre de la jeunesse qui maintient le reste du
monde à la température normale. Quand la jeunesse se refroidit,
le reste du monde claque des dents."
Georges Bernanos, Les Grands Cimetières sous la lune (1938)
«Perpignan, aime sa jeunesse» affirmaient des kakémonos
6 mois avant les municipales de 2008. Quasiment un an plus tard, le 19
mars l'association «Objectif Jeunes» était dissoute
et sa radio, Radio Zygomar, disparaissait des ondes alors même que
des jeunes étaient prêt à continuer l'aventure. Il
n'y a pas d'amour, il n'y a que des preuves d'amour. Qui a-t-il pour la
jeunesse à Perpignan? Je ne parle pas de lieu où, on la
contient afin d'éviter qu'elle détruise plus de 5% du mobilier
urbain. Je parle de lieu d'épanouissement, de lieu où elle
pourrait se construire. La jeunesse ce n'est pas, contrairement à
ce que l'image de la société de consommation distribue,
un état permanent à atteindre à grand coup de crèmes
antirides. Ou encore un cœur de cible à qui l'on vend plus
de toile de jeans, plus de basket et de chewing-gum (la musique, ils ne
l'achètent plus, ils la téléchargent). La jeunesse
c'est le moment de l'existence, de l'enfance jusqu'au moment où
l'on se fixe dans la vie, qui nous construit dans nos rapports dialectiques
entre la société, les autres et elle. C'est le moment «vertébrant»
par excellence, ou "disloquant", qui aura des répercutions
sur toute l'existence, au niveau personnel bien sûr, mais aussi
sur la société: puisque cette jeunesse sera les adultes
de demain. Une municipalité se doit d'avoir une politique de jeunesse
digne de ce nom. Et pas une série d'animations plus ou moins bien
réussies donnant le prétexte à des élus blasés
de poser pour la photo. Ce ne doit pas être non plus une politique
comptable que l'on inscrit dans un bilan, comme un pensum, dont on répond
à qui le demande: «qu'elle a le mérite d'exister!»
Les jeunes ont besoin qu'on leur transmette les clefs. Qu'on les initie
en confiance à leur future vie d'adultes. Qu'on les soutienne dans
leurs projets pas qu'on les récupère (eux et leurs projets).
Qu'on les intègre à leur juste place dans un projet de société.
Et c'est peut-être là où le bas blesse, la communauté
n'ayant plus de projet de société, que celle de perdurer,
elle pense ne plus avoir besoin de la remise en question de la jeunesse.
Il faut des lieux d'expression, mais où l'on apprenne à
s'exprimer. Le langage s'apprend, s'apprivoise comme le renard dans «le
petit prince». Il est le plan architectural de ce qui va s'incarner
dans le réel. Parce que «ce qui se conçoit aisément,
s'énonce clairement». Encourager le langage SMS comme «une
richesse de la culture jeune» est une tromperie.
Il faut aussi faire la promotion de cette production qu'a la jeunesse,
pas parce qu'elle est «jeune», mais parce qu'elle est de bonne
qualité.
Il faut favoriser le déplacement pour qu'elle ait l'expérience
de ce qui se fait ailleurs.
Il faut faciliter l'autonomie. En Catalogne Sud, toutes les associations
de Jeunesse sont gérées par des jeunes (budgets compris).
En France, c'est le contraire, ce sont majoritairement, des personnes
d'un âge certain, qui «pensent le jeune».
Enfin, «les jeunes» ne sont pas une ethnie particulière
avec qui il faudrait traiter de manière communautariste parce que
nous en avons peur; mais notre continuité. Depuis 1968, les anciens
jeunes font payer aux jeunes, le prix de leur «soulèvement»,
de peur qu'ils leur prennent leur place. C'est le syndrome de Chronos,
le père qui dévore ses enfants...Il arrête alors le
temps, et par là même l'avenir...
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Informatique
"Parce
qu'aujourd'hui l'informatique est présente dans nombre de nos actes
quotidiens : faire ses courses, utiliser sa carte bancaire, sa carte vitale,
téléphoner ...les enjeux qui l'entourent nous concernent
tous."
www.annexe-informatique.net
à
la Médiathèque de Perpignan, au 1er Etage, espace multimédia
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
CI&RA66
Le CI&RA
66 met en place à partir de Septembre 2009 un cycle de formation
sur les outils informatiques essentiels au travers des logiciels Libres.
Cette formation fournira aux associations des compétences et des
moyens performants et gratuits pour développer leur projet.
Le CI&RA 66, de par son activité d'accueil
et d'accompagnement des associations dans leurs démarches, a pu
constater leurs difficultés au niveau de l'utilisation de l'outil
informatique, et ce notamment, par le coût financier important que
celui-ci impose. Ceci se traduit sur le terrain par :
-un faible recours aux outils informatiques
-une sous-exploitation des logiciels basiques
-un défaut de communication interne et externe
-une utilisation illégale de licences de logiciels et une position
« inconfortable » par rapport à cette irrégularité
Cette situation se rencontre dans un grand nombre d'associations
et pénalise gravement leurs capacités de développement.
Aussi, le CI&RA 66 a-t-il estimé nécessaire de mettre
en place une formation dans ce domaine. Pour s'assurer de la qualité
de la formation et notamment de l'adéquation aux besoins des associations,
le CI&RA 66 a fait appel au CFEA – Centre de Formation et d'Études
des Associations – et à L'annexe informatique. Lors de cette
formation, les stagiaires pourront acquérir un savoir-faire avec
des Logiciels Libres, tels que la suite bureautique Open Office, le navigateur
Internet Firefox, le blog WordPress, etc. Chaque stagiaire prendra appui
sur des projets de son association pour effectuer son apprentissage et
appliquer directement les bénéfices de ses acquis.
Compte-tenu des différences dans la maîtrise
de l'outil informatique, deux formations distinctes seront mises en place
pour permettre tant aux débutants qu'aux initiés, d'accéder
à une formation à leur portée : une formation pour
les stagiaires ayant les connaissances de bases en informatique (traitement
de texte, organiser ses dossiers) et une formation pour les stagiaires
n'ayant eu que très peu, sinon aucun, rapport à l'outil
informatique.
Conscient de la difficulté qu'ont les associations
pour assurer le financement de la formation, le CI&RA 66 a négocié
préalablement la prise en charge du coût auprès d'UNIFORMATION.
Ainsi, cette formation informatique dont le coût est de 1.008 euros,
fait l'objet d'une prise en charge intégrale pour les adhérents
à UNIFORMATION et à négocier avec les autres OPCA.
Chaque formation est ouverte à 9 stagiaires
et se déroulera durant 72 heures, par séance de 4 heures,
une fois par semaine. Deux sessions de formation sont prévues pour
chaque niveau de stagiaire : de Septembre 2009 à Janvier 2010,
et de Janvier à Juin 2010.
Le nombre de place étant limité, il est
conseillé de prendre contact rapidement avec la personne chargée
de la coordination de ces formations.
L'annexe informatique
16 rue du Petit St Christophe – 66000 Perpignan
06.46.57.21.43
http://www.annexe21.lautre.net/index.php?formation
CI&RA 66
15 rue Ferdinand Buisson – 66100 Perpignan
04.68.66.55.46
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
informatique
Atelier de
découverte informatique à la Médiathèque
de Perpignan
Pour plus d'infos : www.annexe-informatique.net
Julien
annexe 21 / 06
46 57 21 43
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Saint-Cyp
Saint-Cyprien
saborde son projet de grand musée d'Art contemporain
http://www.la-clau.net/info/saint-cyprien-saborde-son-projet-de-grand-musee-dart-contemporain-1628
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
K-nulard
Vous avez certainement reçu un message sur ce sujet, message vous
annonçant deux lunes lors de la nuit du 27 août 2009…
Un article selon lequel Mars apparaîtra «presque aussi grande
que la pleine lune à l’œil nu».
À moins de l’observer au télescope, Mars sera toujours
trop petite et éloignée pour apparaître autrement
que comme un point brillant dans le ciel.
La taille apparente de Mars citée dans le message est en réalité
70 fois plus petite que la pleine lune! Cette exagération provient
vraisemblablement d’une malencontreuse coupure de ligne. Dans un
texte publié à l’origine en anglais en 2003, on pouvait
lire «Avec un grossissement de 75 fois, Mars apparaîtra aussi
grande que la pleine lune à l’œil nu». Malheureusement,
lorsque ce texte a été repris, la première partie
de la phrase s’est retrouvée isolée sur une autre
ligne et séparée de la suite: le sens de la phrase s’en
est trouvé complètement changé.
Dans les traductions, cette importante portion de la phrase est même
souvent complètement éliminée. Le reste du texte
s’inspire des circonstances entourant l’approche record entre
la Terre et Mars, qui a eu lieu le 27 août 2003.
Mars se trouvait alors plus près de la Terre qu’à
tout autre moment depuis 60 000 ans, et ne s’approchera pas davantage
de notre planète avant l’an 2287.
Voilà ce qui rendait cette opposition «historique»:
Mars plus proche, plus grosse et plus brillante (mais pas autant que la
Lune!) qu’elle ne l’avait été de mémoire
d’homme. En somme, le contenu du message est périmé
depuis 2003.
Ce canular avait déjà circulé en juillet-août
2005, puis à nouveau en 2006, et encore en 2007, légèrement
transformé.
Comme l’année n’y est pas mentionnée, il y a
fort à parier qu’il réapparaîtra dans nos boîtes
de réception l’année prochaine…
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Bitlles

Connaissez-vous
le jeu des « Bitlles Catalanes » ?
Il s’agit d’un jeu de quilles traditionnel catalan en bois
très pratiqué chez nos voisins du Sud.
Simple et convivial, ce jeu est accessible à tous mais oublié
en Catalogne Nord.
L’asso des « Bitlles Catalanes » a pour but
de réhabiliter cette tradition et de la promouvoir dans notre départementcontact
@bitlles.fr ou par téléphone au 04.68.64.70.06.
Pour en savoir plus, www.bitlles.fr
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Vol
de portable
Bon à
savoir en cas de vol de portable !
Cette info est très utile.
On peut se demander pourquoi les marchands de téléphone
ne la transmettent pas aux utilisateurs !
Avant de se le faire voler, dès la réception de ce message
par exemple,
tapez ceci sur votre téléphone :
*#06# (étoile, dièse, zéro, six, dièse)
et vous obtenez le numéro de série de votre téléphone
portable qui
s'affiche immédiatement sur votre écran.
Ce code est unique. Inscrivez-le et conservez-le précieusement.
Si jamais on vole votre téléphone, appelez votre opérateur
et donnez-lui ce code.
Votre téléphone pourra alors être complètement
bloqué, même si le voleur change la carte SIM.
Vous ne récupérerez probablement pas votre téléphone,
mais vous êtes néanmoins assuré que le voleur ne pourra
en aucun cas s'en servir...
et vous n' aurez pas de facture mirobolante à payer !
Si cette info s'étend à tous les futurs volés, les
voleurs de téléphones
portables n'auront plus qu'à se recycler, car le vol deviendra
inutile.
Alors... n'oubliez pas de noter votre numéro et de faire passer
le message !
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Robot
parlant
Faire
parler le robot
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esponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzesponiouzàSavoir
Conseils
de prudence dans les transferts d'e-mail:
Quelques conseils de base pour éviter la propagation des Virus
Comment « nettoyer » un Email avant d’y répondre,
ou de le re-transmettre
Lisez attentivement cette brève procédure, même si
vous êtes persuadés d’avoir, et de pratiquer la bonne
méthode, pour envoyer des messages par Internet.
Savez-vous comment re-transmettre un message que l’on vous a envoyé
?
50 % d’entre nous le savent, mais 50 % L’ IGNORENT
Vous demandez-vous pourquoi vous avez des « VIRUS » ou des
« SPAMS » ?
Chaque fois que vous re-transmettez un message, vous véhiculez
des informations sur les personnes qui ont eu le message avant vous :
leurs Noms ou Surnoms, mais surtout leur adresse Email. Comme bien souvent
le message est retransmis à d’autres, la liste des noms et
adresses grossit, grossit, et fait boule de neige. Lorsqu’un virus
pénètre dans cette liste, il atteindra tous ceux qui
la composent, y compris vous-même. Il faut savoir que les virus
peuvent s’incruster dans nos messages entre leur départ et
leur arrivée.
Certains « récupèrent » ces adresses pour les
revendre, ou ils vous envoient un Email pour vous faire visiter leur site,
gagnent 5 cent d’Euro par visite, mais vous, vous êtes piégés
!
COMMENT POUVEZ-VOUS ARRETER CELA ?
tout simplement par quelques précautions élémentaires
:
1°) Lorsque vous faites suivre un message, après avoir fait
un clic gauche dans la case « Transmettre », vous devez faire
disparaître tous les Noms et les Adresses Email des personnes qui
ont déjà reçu le message. Seul le texte ou bien le
« Lien » à re-transmettre doit figurer sur la page,
Vous pouvez y ajouter votre propre texte, mais il est essentiel de faire
disparaître tous les noms et adresses Email des personnes qui apparaissaient
précédemment sur cette page.
2°) Lorsque vous faites un envoi groupé de Mails à plusieurs
personnes, d’abord, vous avez intérêt à constituer
un « groupe » dans votre carnet, mais surtout, ne positionnez
pas vos adresses dans la case « A » ou « Cc »,
mais prenez l’habitude d’employer la case « Cci »
(Copie Carbone Invisible) dénommée quelque fois «
Bcc ».
De cette manière, seule la personne à qui vous écrivez
verra son Nom et son Adresse, mais pas celles des autres.
Personne ne pourra relever ces adresses.
Il est évident que si vous désirez que les destinataires
soient tous au courant des personnes à qui vous adressez ce message,
n’utilisez pas cette disposition, mais soyez conscient qu’elle
comporte un risque…
3°) Dans la ligne « objet », effacez toutes abréviations
telles que « FW » ou « Réf » ou «
Rép » ou autres, mais par contre, vous pouvez renommer le
sujet si vous le désirez.
4°) Utilisez toujours le bouton « Transmettre », de la
page sur laquelle vous lisez votre message, vous éviterez ainsi
à votre correspondant d’avoir à passer en revue toutes
les autres pages adressées précédemment.
5°) Avez-vous déjà reçu un Mail sous forme de
pétition ?
Il y a une liste de noms, et l’on vous demande d’y ajouter
le votre en dernier et de re-transmettre ce message à 10 ou 15
personnes de votre carnet d’adresses. Ce Mail pourra être
re-transmis et re-re-transmis à l’infini, et réunir
ainsi des centaines de Noms et d’Adresses Email. En fait cette pétition
vaut quelques Euros pour un professionnel des « SPAMS » à
cause des Noms et Adresses Email « VERITABLES » qui la composent.
Si vous désirez vraiment défendre cette pétition,
faites une lettre personnelle à son initiateur, celle-ci aura plus
de poids qu’une liste de noms, qui peut être inventée
de toutes pièces, mais comme par hasard, le nom et adresse de l’initiateur
n’y figure jamais...
Ne croyez pas lorsqu’il est écrit que ce Mail sera repris
utilement par telle ou telle Sté… C’est impossible
si l’on n’envoie pas de copie directement à la Sté
mentionnée.
6°) Le message le plus détestable est celui qui vous demande
d’envoyer votre e-mail à 5, 10, ou 15 personnes, et que si
vous le faites, il vous arrivera un bienfait quelconque, ou alors que
vous verrez apparaître quelque chose sur votre écran, ou
bien encore que vous recevrez carrément une caisse de champagne…
Soyez certain que rien de cela n’arrivera jamais….
Ce genre de Mails revient régulièrement chaque année…
Une seule attitude à avoir : Destruction immédiate sans
compromis.
7°) Avant d’envisager de faire suivre un message d’alerte
sur un quelconque Virus, une recherche de personne, ou la propagation
d’une histoire à dormir debout, il y a un site Internet en
France à consulter impérativement :
http://www.hoaxbuster.com/
Ce site répertorie, analyse et informe sur la véracité
du contenu de ces messages : VRAI ou FAUX !!!
S’ils sont réels, vous pouvez les faire suivre si vous le
désirez, mais avec les précautions élémentaires
énumérées au début de ce texte.
Par Pitié, ne re-transmettez pas de fausses alertes… Vérifiez
! ! !
8°) Attention aux pièces jointes que vous envoyez, celles dont
la référence de fichier se terminent par : « .exe
», sont les plus vulnérables et souvent détruites
d’office par un bon nombre d’antivirus.
Si vous êtes certains de leur « bonne santé »
et que vous vouliez impérativement les faire parvenir à
quelqu’un, prenez la précaution de « Zipper »
votre dossier, qui voyagera ainsi en toute sécurité…
Une Bonne idée : Envoyez ces conseils à tout votre carnet
d’adresses… (en « Cci »)
Mais n’oubliez pas d’effacer mon Nom et mon Adresse avant
de l’expédier… Merci !
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Visite
intérieure
http://www.visiblebody.com
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